• Moi qui ai déteste entendre des commentaires défavorables à mon encontre, moi qui ai du mal à supporter les mécanismes conformistes de groupes, moi qui rigole doucement devant l'absurdité de rêgles absordes...  Voila que je me suis inscrite, introduite par un ami, à un site communautaire de rencontre, vaguement parano... 

    Voila mon nouveau trip du moment.  On vera ce que ça donne, si je m'y amuse toujours autant après quelques jours ! 

    En attendant cela m'aura fait plonger mes petites mains dans photoshop pour des montages photo sympatiques... 


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  • Au grés d'une conversation IRC, un pénible fait une remarque pénible.  En farfouillant dans mes scripts, je trouve un énigmatique : "tu sors" 

    Voila sur quoi je suis tombé en le lançant :

    $$1 : Toi, dehors !

    Et c'est moi qui en fut la principale victime, car il ne faut exploser de rire en suçant son pouce, c'est dangereux... 

    Voila qui m'apporta un peu de joie et de rire.  Car on ne peut dire que je passe une soirée enthousiasmante.  Sur mon bureau s'entassent les cours, et une sombre culpabilité de ne pas arriver à les lire, à les relire.  Une pointe douloureuse s'enfonce en mon crane.  J'ai envie de dormir mais je ne peux pas. 

    Que c'est long à passer, une soirée, avant que le sommeil ne tombe, ne vous abatte...


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  • Un costume fabuleux...

    Oui, mais si on danse...

    PS : un mot de commentaire ne m'attristerais pas... 
    Il y a plein de post désespérement privés de toutes réactions que cela en est attristant (à Tristant ?  Non non, rien Iseult, rendors-toi)


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  • ... La bourde du conseiller en communication ! 
    Comment a-t-il pu se laisser convaincre que c'était le moyen le plus adapté pour séduire l'électorat le tenir au courrant des problématiques de ce jour ? 

    Le blog de D. Strass-Kahn

    Merci à l'ami qui m'a transmis cette adresse, et bienvenue à lui dans le petit monde refermé, infiniment pervers et mal...  comment ?  Ca fait too, much ?  Ah bon ?  Damned...

    Sinon, j'ai réussi mon examen de micro-informatique. Dans des conditions absoluments illarante : comme le local était occupé, je l'ai passé dans le couloir. Rarement il y eut examen plus public que celui-là. Au fait, lecteur, si tu passe sur ces pages, laisse un petit mots, ça ne me déplairait pas.

    Petit extrait d'une conversation entre amies :

    - T'as des rôlistes qui sont tellement dans leur trip que ça frôlle le cas psychiatrique...  Quand j'étais à T... je connaissait une fille qui s'était fait offrir un cerceuil et qui dormait dedans ! Mais les parents aussi avaient un problème : offrir un cerceuil comme lit à leur gamine..." 

    - Pourquoi pas ?  C'est un investissement à long terme..."


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  • C'était déjà il y a une semaine. Ce vendredi, c'était mon dernier jour à Paris, mon dernier jour à réviser chez mon namoureux, avant mon retour dans mes pénates...

    </fonte= tahoma?="" />C'était un jour tristounet, un jour de déprime... 
    Le temps était maussade, le ciel voilé, le jour filtrait péniblement à travers les vitres de la large porte-fenêtre du balcon...  et moi, assise devant mes cours, je révais de trouver autre chose à faire, de préférence d'intérêt général.

    Car mon namoureux, qui vis seul avec une chatte inquiète, n'est que moyennement passionné par les tâches d'entretient de son chez-lui. J'avais déjà récuré la cuisine, la salle de bain, extirpé le calcaire inscrusté dans l'inox et le carrelage et éradiqué les colonies de champignons pulullant dans les recoins de la salle d'eau, mal aérée

    -  En fait, ton namoureux vis comme un stroumphf..."

    -  ... ? "

    -  Dans les champignons. "

    Là, je ne savais plus trop que faire, je m'ennuyais, en regardant le ciel gris par la fenêtre...   La fenêtre ?

    -   Mais les carreaux sont dégueulasses ! Les vitres sont couvertes par la poussière soulevée par le trafic des voitures ou déposée par la pluie... Pas étonnant qu'il fasse tout gris, m'en vais te nettoyer tout ça, et faire une surprise à mon namoureux !

    Equipée sommairement, je me mis au travail avec allégresse, et sans réfléchir d'avantage, je claquai la porte coulissante afin de pouvoir entièrement la savonner.</span />

    C'est alors que j'entendis un petit bruit de fort inquiétant augure : un simple déclic...  "Clock" 
    ...C'était la poignée qui venait de se rabattre, refermant la porte vitrée, et me coinçant irrémédiablement à l'extérieur. 

    Imperturbable, je continuai de mouliner des bras et de l'éponge.  Jusqu'au moment où il me fallu affronter la terrible réalité : il était 11 h 40, soit 6 h 30 avant le retour probable du maître des lieux, et j'étais coincée sur trois mettre carrés de balcon ! 

    - Merde ! Mais y a pas de poignée à l'extérieur sur cette fenêtre ???  Et mon GSM est à l'intérieur !  De toute façon, la batterie est morte et j'ai plus de crédit d'appel...  Demander à un passant de prévenir mon namoureux ?  Bonne idée mais...  mais je connais pas son numéro de portable !  Essayer de prévenir un passant, lui donner le code d'entrée, l'étage pour qu'il vienne m'ouvrir ?  J'aime pas ça du tout et...  et j'ai verrouiler la porte tout à l'heure, après que mon copain sois partis, pour être sur qu'elle reste pas ouverte !!!  Merde !!!  Tu va t'ouvrir putain de fenêtre ???"

    J'ai tenté de forcer la porte en insérant les phalanges dans la rainure et en tirant, avec plus en plus de rage et de désespoir, j'ai réussi qu'à m'écorcher. 

    - Meeeeerdeuh !>>

    Découragée, je me suis assise sur l'appui de fenêtre...  Riche idée : il dégoulinait d'eau !  Me voila donc trempée, affamée, frigorifiée... et pas mal mortifiée de ma situation ridicule. 

    Un grattement...  C'est la miniature de chatte, peureuse et agressive comme pas une, qui me contemple de ses yeux dorés et qui gratte comme une folle à la fenêtre. 

    -      Oh tient, tu es dehors ?  Moi aussi je veux !  Ouvre !  Mais ouuuuuvre, moi aussi je veux sortir ! c'est fermé ?  Qu'est-ce que tu fais dehors ?  Je veux sortir ?  Le téléphone sonne sans arrêt, c'est agaçant !  Laisse-moi sortir, ouvre la porte ! Elle a bougé ! Elle a bougé, ne le nie pas, je l'ai vu, mais ouvre, utilise tes doigts, j'ai que des griffes, le verre ne cede pas, mais je gratte, je gratte, je gratte !  Oh ne peux-tu pas comprendre que je veux sortir ?  Pourquoi tu t'assied ?  Tu met ta patte sur la vitre, comme moi ?  Je peux l'attraper ?  Ah non, je peux pas, il y a la vitre...  Tu veux aussi ouvrir la porte ?  On est deux à gratter ?  Mais enfin...  Oh je renonce, je retourne me coucher, je sortirai quand mon maître, mon aimé, mon vénéré maître sera de retour, ce soir... "

    Et la voilà repartie...  Elle va revenir trois ou quatre fois, mais la porte restera toujour fermée.  Le téléphone aussi sonne trois ou quatre fois...  C'est mon namoureux certainement ! J'ai soudain cessé de répondre sur IRC et sur MSN, les gens se demandent où je suis disparue, et l'un deux en particulier s'inquiète...  J'espère qu'il s'inquiètera assez pour rentrer...  Je ne veux pas attendre six heure dehors !  Mc Gyver s'en serait certainement sortit tout seul, mais moi, je n'avais pour tout outil que des jardinières de fleurs...  Pas l'idéal ! 
    Au pire, je pouvais briser la vitre d'un grand coup de géranium, mais... 

    - Merde, on casse pas une glace qu'on vient de se faire chier à laver quoi ! Et puis c'est super grand, c'est du double vitrage, je risque de me faire super mal et douée comme je suis, je vais au moins m'égorger, yaura du verre partout, la note de vitrier va casquer ferme"

    C'est alors que, tel un chevalier sur son fier destrier bleu (parce qu'une moto blanche c'est vachement salissant et dégueu, et que bleu roi c'est mieux et tout aussi princier, vu qu'il y a "roi" dans le nom), arrive mon namoureux.  Il s'attendait à me trouver inanimée au fond de mon bain, ou gisant dans une marre de sang, déchiquetée à mort par le chat...  et m'a trouvé en larme, assise derrière la vitre fermée du balcon, avec un petit chat miniature tout gris montant la garde.   

    Je m'attends à ce que dans 10 ans, il se foute encore et toujours de moi, qui me suis enfermée dehors en nettoyant les carreaux. 

     Le soir même, je m'entaillais le doigt avec un tesson de bouteille...  Nouveau motif d'hillarité de mon ami, qui s'attendait à me voir pisser le sang, un doigt à moitier déchiqueté, et ne découvrant qu'une entaille tout ce qu'il y a de plus banal... 
    - Mais ça faisait quand même vachement mal !  Zut-heu>>

     Samedi matin, flash info

    - Trois personnes ont gagné au Loto et se partagent la super gagnotte du Vendredi 13, qui s'élevait à 15 millions d'Euro...  >>

    Mince !  Je suis pourtant pas supertitieuse... 

    J'aurais du jouer !

     


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