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Témoignage d'un GI
Justification odieuse des tortures à la prison d'Abou Grahib :
"Quand y a de la gégène, y a pas de plaisir !"
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Chuis en forme, moi. C'est le festival du calembour douteux
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Commentaires
3TschokJeudi 6 Janvier 2005 à 15:16Du même genre
On ne fait pas d'omelette sans casser d'Arabes. En première analyse, c'est nul. En seconde analyse, on perçoit horrifié qu'il correspond à une certaine réalité.4createurDimanche 9 Janvier 2005 à 08:436createurLundi 10 Janvier 2005 à 19:50
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j'ai toujours rafolé de l'humour noir, très très noir. Et du cynisme aussi, quand il se marie à l'humour noir. Ce rire est la politesse du désespoir. Ensuite, promis, je me rattaquerais à la rédaction de mes mémoires d'outres monde