• Je sais pas ce que j'ai...  contrecoup de la gastro ?
    Je suis constipée du stylo. Incapable d'écrire trois ligne de lettre de motivation pour un job qui me passionne...  Peur de me lancer, peur de me prendre un mur, peur de quoi ? Totalement coincée devant une page blanche qui se remplis de conneries.

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  • Que du bonheur.

    Aujourd'hui, j'ai enfin pris mon courrage à deux mains (voire plus) et décroché le téléphone. Rectification : j'ai décroché le téléphone d'une main, numéroté de l'autre, et empoigné mon courrage des deux pieds. Ou alors j'ai des tentacules quelque part, mais je suis pas au courrant...  Bref, j'ai empoigné le téléphone et appelé les divers numéros que j'avais récolté au cours de mes investigations internetiennes.

    J'avais longtemps tergiversé, mais là, je ne trouvais plus beaucoup de raison de repousser au lendemain ce que je pouvais faire aujourd'hui. Comme dit le proverbe, à chaque jours suffit sa peine ; aucune raison donc de me préparer un petit stock de trucs à faire pour la fin tes temps.

    Donc j'ai empoigné mon téléphone... J'ai appellé, me suis un peu embrouillée, ai recommencé à expliqué qui je suis et pourquoi je téléphone à un brave bonhomme avec un accent du sud fort sympa ma foi...  Bonhomme qui m'a passé à la responsable de la communication, qui m'a elle-même dégoté un archéo...  technicien de fouille plus exactement. Ca y est, je sais exactement maintenant comment on appelle le genre de boulot que je peux faire avec ma licence en poche...  On appelle ça un fellah quand on se fait appeller Môsieur le professeur par une petite vieille rabique, ou alors un technicien de fouille. C'était d'ailleur l'intitulé d'un de mes cours, pas très bien donné d'ailleurs...  Peut-être devrais-je chercher un syllabus plus récent que ce truc acheté en son temps aux PUB.

    Y a pas mal de syllabus que je devrais récupérer histoire de relire un peu tout ça...  Je pense en particulier à Muséologie, technique de fouille, Préhistoire de l'Europe, etc. L'avantage d'un syllabus, c'est que c'est clair et concis et pas trop cher. Le désavantage, c'est que ça manque furieusement de photo et que la définition du clair et concis peut considérablement varier en fonction du rédacteur. parfois cela signifie "dans un style plus chiant qu'un compte rendu de scéance pleinière de l'association des Gai limaçons" pour d'autre "tapé à la machine par une sténo rhumatismante".

    Dans quelques années je rigolerais de toute cela, spécialement quand des jeunes chercheurs d'emploi me téléphoneront pour me demander un avis sur leur projet professionel, et que je m'entendrais répondre ce que je sais pertinament mais que je n'ose pas faire "vas-y coco, ose ! fonce ! t'as rien à perdre, au pire tu prend quoi ? quelqu'un qui te raccroche au piff et que tu peux insulter à loisir ensuite !"

    Oui, enfin...


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  • Si je me sentais pas aussi malade, j'entamerais bien un petit compte rendu des différentes phases de cette saloperie de maladie, qui a commencer par des soucis intestinaux pour passer par le coup de froid, l'utilisation anarchique de médicaments mutuellement contrindiqués, et qui semble se finir par... des soucis intestinaux.

    Mais je suis vraiment trop mal.

    (rien à voir avec la mousse à l'orange, mais plutot avec une basilique Saint Denis dont la température équivalait à celle d'un compartiment à glaçon, et trop de balade en blablatant avec ma maman, venue voir où son grand poussin vit. Maintenant je suis bien malade.)


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  • Il suffit !

    Il est temps de passer à l'action !

    Il faut se reprendre en main ! non je ne suis pas un cas désespérée sous prétexte que je suis peut-être la seule personne au monde à avoir laissé brûler un plat de pâtte. Pour ma défence, j'avais remis la casserole sur la plaque après avoir mangé, j'ai oublié de vérifier que celle-ci était éteinte. Je commence à trouver génant d'envoyer mon chéri aux fourneaux quand je veux qu'un repas soit vraiment bon et beau. Toujours pour ma défence, mes plats ont une esthétique discutable mais ils sont globalement mangeables. Bien qu'un jour l'on m'ait demandé si c'était bien des raisins dans le brownies "parce que l'autre alternative était  des crottes de lapin.  Sans rire, vous me voyez vraiment répendre ce genre de petit agrément dans mes plats ?

    Donc voila. Maintenant, il reste à maintenir chéri suffisament éloigné de la cuisine pendant que je m'y trouve. Il a l'art et la manière, sans rien dire, de me faire sortir de mes gonds. Dingue comme on peut faire passer de scepticisme dans un simple regard. Le genre "tu es sur que tu va t'en sortir ? parce que là, tu n'en prend pas du tout le chemin.." Chéri, sache-le, tu ne me simplifie guère la tache en agissant ainsi. (Parfois, notre couple me fait penser à celui d'arthur et guenièvre revu façon Kaamelot)

    Bon, tout ça pour dire que je tenterais bien une mousse à l'orange. Ce sera le second dessert que je saurais faire, après la mousse au chocolat, que je réussi divinement mais jamais deux fois de la même manière, et le spéculoos, si je pense à passer le clou de girofle au robot avant de mettre les morceau mal pilés dans la pâte.

    4 oranges
    1/2 citron
    2 Cs de sucre en poudre
    2 Cs de maïzena
    1 Cc de curaçao
    2 oeufs

    Recette :
    Pressez le jus des oranges et du 1/2 citron.
    Passez à travers une très fine passoire.
    Dans une terrine, travaillez les jaunes d'oeufs et le sucre jusqu'à ce que le mélange devienne mousseux ; ajoutez la maïzena en travaillant toujours, enfin le jus de fruit petit à petit chauffé au préalable.
    Incorporez le curaçao.
    Dans une casserole, versez la préparation et faites épaissir sur feu doux en tournant jusqu'au premier bouillon.
    Battez les blancs en neige très ferme et incorpérez les à la crème retirée du feu et tiédie.
    Versez le tout dans une jatte et laissez refroidir.
    Placez en glacière.

    Edit

    Je me suis donc lancée dans la réalisation de cette fameuse mousse...  A priori, ça a l'air tout con à faire, et les ingrédients étaient - heureusement - tous à portée de main, dans le frigo ou les placards. Tout con à faire, oui mais. C'est une recette à base d'oeufs discociés, les blanc étant battus en neige et les jaunes traités à part, ensuite incorporés dans les blancs en neige...  Le point sensible est de ne pas laisser les blanc retomber flasquement lorsqu'on y incorpore la sauce plus chaude...  Oui, mais ces couillons ont une certaine propenss, propensi, propent.. tendance au défaitisme ! On verra bien une fois que ça aura refroidi... 

    Et j'espère que mon apport personnel se mariera bien avec les oranges et le rhum-cointreau (pas de curaçao, et puis, franchement, du bleu dans de l'orange, je doute de l'esthétique du résultat) J'ai rajouté du gingembre dedans...


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  • Il est trop fort, ce chat !

    J'étais assise dans le canapé, frissonant sous un plaid, avec un thé  à la main Dingue comme les pieds se glacent vite...  Mais passons. Le chat quant à; lui menait sa petite vie de chat, c'est à dire qu'il était probablement très affairé à dormir.

    Soudain des bruits, des claquements de portes, une voix de femme africaine qui résonne très fort... trop fort, pour cet appart totalement isolé. Maugréant, je me lève et je vais voir, c'est trop tot pour que ce soit mon chéri qui rentre, et que je sache, il a jamais parlé comme cela.


    Serait-ce une punition du marabout, retour de l'être aimé, grand pouvoir héréditaires, dont je me suis moqué de la publicité hier et qui téléporte sa maman furieuse dans mon entrée ? Je me lève donc, vaguement inquiète tout de même (la mémé furieuse c'est le genre de créature qu'aucune table des rencontre ou bestiaire montrueux n'a jamais pris la peine de détailler, c'est dire comme c'est effrayant)

    Que vois-je dans l'entrée ? La porte toute grande ouverte, et le chat assis devant, qui la regarde fixement...  Le temps de claquer la porte, m'assurant que le chat est à l'intérieur, je commence à cogiter et tente une analyse de la situation...  L'absence de mémé africaine en train de me maudire mille foix exclut donc l'intervention du Marabout...  Par contre, la présence du chat laisse penser qu'il n'est pas inoncent à l'affaire...

    Il n'y a donc pas trente-six solutions : le chat est doué de pouvoir de télékinésie, c'est évident ! Il a encore une fois tenté de s'évader, comme il le fait à chaque fois que l'on ouvre la porte d'entrée, mais cette fois-ci, il a user de ses capacités extra-lucide pour ouvrir lui même la porte... Ou alors la porte ferme mal, et ça, c'est chiant, vu que c'est une porte qu'on ferme en claquant. Cela signifie que dorénavent il va falloir vérrifier que la porte est bien fermée à chacune de nos sorties


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